Les thérapeutiques conventionnelles peuvent avoir des effets secondaires parfois significatifs qui peuvent remettre en cause l’observance du traitement. Une technique complémentaire peut limiter cela et améliorer la prise du traitement.
La douleur chronique s’installe dans le temps, résiste aux traitements classiques et réduit les capacités fonctionnelles. Elle enferme le sujet dans sa souffrance.
Il y a trois types de douleurs :
- la douleur nociceptive
- la douleur neuropathique
- la douleur centralisée
Qu’elles soient liées à une pathologie (maladies musculo-squelettiques, cardiovasculaires, endocriniennes, respiratoires, gynécologiques, urinaires ou rénales, cancers, arthrose, maladies psychiques de longue durée…) ou à un traumatisme physique ou psychique, elles exigent une prise en charge globale.
Les thérapies complémentaires ouvrent une autre perspective : celle de sortir de cette focalisation sur la douleur qui prend toute la place. L’objectif est de sélectionner des pratiques adaptées à la personne qui souffre, avec son adhésion et sa participation, afin de la soulager et d’améliorer sa qualité de vie.
Utilisées en synergie et organisées en protocoles sur mesure, ces pratiques à visée thérapeutique entrent dans le cadre de parcours de santé personnalisés, en concertation avec le corps médical.
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